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L'Association Syndicale des Centres de Bilans de Compétences : ASCBC
L'ASCBC a pour objectif de regrouper les centres de bilans de compétences, développer, promouvoir, défendre la profession et être un relais entre les centres de bilans de compétences et les différentes instances publiques.
L'ASCBC est constituée d'un CA et d'un bureau qui définissent les objectifs et les actions à mener.
Depuis sa création, l'ASCBC se mobilise pour que le bilan de compétences garde toute sa place dans la réforme de la formation professionnelle.
L'ASCBC a été reconnue comme un interlocuteur valable par les pouvoirs publics et par les partenaires sociaux : rencontres avec la DGEFP (Délégation Générale à l'Emploi et à la Formation Professionnelle), audition par le COPANEF,...)
L'ASCBC a pris position fermement pour défendre la spécificité du Bilan de compétences devant la menace du Conseil en Evolution Professionnelle.
L'ASCBC a lancé une pétition "Non à la mort du Bilan de Compétences" et dernierement
"NON à la disparition des centres de Bilans de Compétences privés !"
L'ASCBC a également rédigé une Lettre Ouverte : "Le Bilan de Compétences : le grand oublié de la réforme de la formation professionnelle ?"
L'ASCBC a fait part de sa position au COPANEF : "Positionnement de l'ASCBC sur l'articulation du Bilan de Compétences avec le Conseil en Evolution Professionnelle ".
La presse s'est fait l'écho de nos actions :
lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/le-bilan-de-competences-est-il-mort
cibc58.fr article info formationcibc58.fr article info formation
L'ASCBC a permis, par son action, que la place du Bilan de Compétences soit réaffirmé, dans le rapport du COPANEF, du 7 avril 2015 et que le Bilan de Compétences soit éligible au CPF, depuis le 1er janvier 2017.
Mais aujourd'hui, de nouveau la place du bilan de compétences est menacée et les centres de bilans de compétences de plus en plus précarisés. L'ASCBC écrit donc à M. Macron et à Mme Pénicaud.
L'ASCBC défend également une certaine vision du Bilan de Compétences et remet en question les conclusions du COPANEF dans son nouveau rapport de juillet 2017.
Il nous faut donc continuer à nous mobiliser !